Bienvenue au Petit Salon

Ayolos voulais se rapproche des deux enfants et se retint il ne voulait pas les reveiller il chuchotas :

- Je pourrais les revoir quand ils seront reveiller. Sans être une gene pour vous ou vos maitre.

Ayolos s'approcha doucement du couffin et regarda Althéa se reveiller, les yeux d'Ayolos se remplir d'étoile en regardant Althéa, elle est si petite on dirait un ange. Ayolos voulais la prendre dans ses bras mais il avait peur de lui faire du mal.

-Ils sont magnifiques !!! tu crois qu'on en aura d'aussi beaux ?

Ëllãwan etait émue à la vue de ces si beaux cherubins. Elle leur caressa les cheveux

- Ça donne envie mon amour !

Anatole entra dans le petit salon, il était blanc comme un linge, Ayolos et Dame Ellãwan se trouvaient là.

- Messire Ayolos ! il eut un temps d'arrêt et baissa la tête Votre frère, le Vicomte Seyia1. il s'interrompit.

Je l'ai retrouvé dans les écuries inconscient coulant de sueur, et saignant. Nous l'avons ramené dans ses appartements, j'ai fait quérir un médecin.
Rassurez vous sa blessure à la tête n'est pas grave, mais sa fièvre m'inquiète au plus haut point, il semble ne pas vouloir combattre celle-ci.

Puis se retournant vers Dame Ellãwan.

- Je suis désolé que ceci vous soit infligé, en ce jour qui devraitêtre un jour de joie, Dame Ellãwan.

Ayolos resta petrifier lorsque Anatole lui annonca la nouvelle son frere était malade alors que il y a encore peu, il respirait la sante. Il se laissa tomber sur le fauteuil incapable de réagir a la nouvelle.

- Pui..is- je le..........voi.............r.

Sa voix tremblait il avait du mal a parler des larmes, se formait dans ses yeux, et perlaient ses joues.

Ëllãwan était effondrée mais se reprit tres vite

- Je peux t'accompagner ? j'ai des notions de guerisseuse !

- oui, si nous pouvons le voir tu pourras m'accompagner.

Ayolos etait completement effondre par la nouvelle et reussi a faire un leger sourire a sa Dame.

- Viens t'assoir et attendons !

Ëllãwan prit Ayolos par la main et l'attira sur le canapé. Il faudra surement attendre longtemps. Elle savait que son frere etait tres important pour lui. Elle lui serra la main.

Ayolos se laissa entrainer sur le canapé, il pleurait il regarda Ëllãwan avec des larmes plein les yeux. Il savait qu'il pouvait compter sur Ëllãwan pour le soutenir.

Ëllãwan sortit son mouchoir de son petit sac et essuya les yeux d'Ayolos son amour

- Je t'interdis de pleurer, ton frere est souffrant certes, mais vivant !on ne pleure que les morts ! il a besoin de toi de tes pensées positives, il a besoin de ta force pour soutenir sa femme. Il n'a pas besoin de tes larmes, elles ne lui servent à rien et elles t'handicaperont ! arrete de pleurer !! je t'aime et je serais là avec toi, tout le temps !!

Ayolos arreta de pleurer et se ressaisit quelque peux, Ëllãwan avait raison, "je dois rester fort pour soutenir mon frere et sa femme dans cette terrible epreuve".

Anatole, un peu gêné.
- Je vous ferait prévenir, lorsque votre frère se réveillera.

- Je vous remercie Anatole, j'attendrais, je vais aller a la chapelle pour prier la guerison de mon frere.

Ayolos sorti et se dirigeat vers la chapelle

- Dame Claudelle !! attendez !!

-Je voudrais pas vous importunez à un moment pareille, mais je suis guerisseuse aussi. Puis-je vous assister ?

Ëllãwan attendait inquiete la reponse de Dame Claudelle, elle aurait tant aimé aider sa nouvelle famille.

Ayolos arriva au petit salon et celui la etait vide, que se passait il, sa douce amie n'etait plus là, il vit le verre pose sur la table, mais personne n'etait la, il esperait que rien ne s'etait passer durant son absence. Il commencat a paniquer puis se ressaisit il se dit que sa douce Ëllãwan l'aurait fait cherche ou serait venu elle même me prevenir elle savait ou je me trouvais. Il decidat de patienter dans la pieces pour savoir se qui se passait actuellement,si son frere s'en remettrait ou si Aristote avait decider d'ignorer ses prieres.